Salle du trône

Des vitraux multicolores baignent la pièce sombre de couleurs étranges, atténués cependant par la noirceur des murs, laissant apercevoir un trône noir dont les pieds sont des pattes de lion et le dossier est hérissé de pics noirs.
Seul le sol de pierre, à l'aspect nacré et veiné de bleu, apporte un peu de chaleur et de paix à cet étrange spectacle, laissant la lumière y tracer ses arabesques irisés.

Le roi, à son arrivée devant la gigantesque porte de la salle du trône de Laÿna, qui mesurait au mois la taille de trois grands hommes, était de bois massif est très épaisse. Sur toutes la surface du bois, une ferrure métallique permettait de renforcer l’ouvrage par un quadrillage uniforme ce qui devait pouvoir parer toutes éventuelle attaques en cas de perte du reste du royaume.
Sur la surface de la porte qui donnait à l’intérieur de la salle du trône, elle était finement sculptée par des motifs représentant une partie des bailles gagnées des anciens rois.

Le sol de pierres taillées était admirable à voir. La surface jonchée de gravures comprenant une géométrie, formaient des mosaïques symétriques stylées et des dessins qui évoquaient des formes de plantes. Ces formes constituent des motifs dont la répétition s'étend sur doutes la surface du sol.

Sur les deux coter de la salle, des piliers de marbres formait un couloir menant directement vers le roi. Les piliers étaient à la fois pour maintenir la voûte et servait de décoration, ce qui rendait la salle beaucoup plus imposante. Chacun de ces piliers étaient minutieusement orné par divers motifs en spirale montante, donnant l’impression d’un dessin infini.

Les murs, quand à eux étaient vieillissants. Les fresques représentées sur toutes les surfaces se voyaient à peine. Elle était recouverte d’une noirceur que les années avait ronger du à l’humidité des pluies diluviennes, masquant ainsi la luminosité des lieux. Sur tous le long des murs, des corbeaux jaillissaient pour le maintien des torches.

Lorsque le roi fut arrivé proche du trône, il gravit les 5 marches qui le surélevèrent. Puis avant de s’asseoir, il fit le tour en scrutent les moindres détails.
Toutes fois, ses pensées restèrent néanmoins à l’organisation du royaume ainsi que du pays. Une chose resta primordiale, recruter du monde. Le roi prêt à donner une mission, attendait une personne les bras croisé...

Voyant un homme entré avec peux de dignité dans la salle, le roi se leva en lançant un regard agressif. Espèrent que sa venue soit pour une bonne cause, il le laissa faire ses présentations avant de réagir d’une manière agressive. Une fois satisfait de savoir qu’il s’agissait du Commandant des Armées, le roi se leva du trône pour le saluer.

Ne restez pas le genou à terre, une révérence est suffisante pour me saluer.

Le roi resta très attentif à sa tenue vestimentaire sans rien vouloir lui reprocher pour l’instant.

Merci d’être ponctuel, oui je vous ai fait venir de toutes urgence, car ce matin il m’est parvenu une informations de la plus haute importance. Pour le moment il ne m’est pas possible de vous fournir plus de détaille. Affin que vous puissiez comprendre la raison pour lesquelles je vous ai fait venir, voici une enveloppe que je tenais à vous remettre en main propre.

Une fois remis son message à Valinor Shisua, il le laissaprendre le temps de pouvoir lire et comprendre le texteem ça présence. Attendent une réaction, il resta en face de lui

Spell quitta la pièce du palais réservée aux soldats malades et se dirigeait vers la salle du trône. En tant que médecin des armées, il devait effectuer une permanence le mardi après-midi et le jeudi après-midi. En ces temps de paix, la salle servait simplement à faire passer des visites de contrôle ou bien tout simplement soigner des blessures ou maladies benines. Mais depuis quelques jours, la salle s’était transformée en une place de marché, obligeant Spell a déclaré une nouvelle permanence le samedi matin. Les soldats étaient anxieux et plus stressé qu à l habitude s’imaginant toute sorte de maladies pour trouver un réconfort auprès des infirmières accompagnant Spell. Ecoutant les différentes rumeurs et plaintes, tout en restant stoïque, il comprit qu’une guerre s’annonçait.
Le messager qu’il avait envoyé à Alliagan, venait de revenir depuis deux heures avec une réponse positive à sa demande. Voilà qui lui procurait une occasion en or de se faire connaître un peu mieux. En effet il y a quelques jours, un marchand d’Alliagan de passage à la capital était passé au dispensaire où Spell officie le reste du temps. Spell se renseignant sur la santé de son commerce, appris que kähak, régent d’Aliagan avait demandé à ces marchands de lui trouver certaines plantes assez rare tant il était difficile de les cultiver. Spell en avait justement quelques espèces en pleines floraisons. Afin de s’assurer de l’exactitude de ces propos, il avait envoyé un des ces infirmiers, fils d’une famille de marchand, à Aliagan. Celui-ci utilisant un convoi marchand deson père fit remettre la lettre de Spell au régent. La réponse fut rapide, le régent était intéressé mais refusait de parler à un intermédiaire et demandait à s’entretenir avec le vendeur. L’infirmier, intimidé et pas du tout doué pour le commerce s’excusa et prit la lettre de réponse à remettre à Spell sans informer de la venue proche de celui-ci. Il devait donc se rendre rapidement à Aliagan.
Cependant une idée ingénieuse avait germé dans son esprit en ébullition, c’est cette même idée qui guidait ces pas jusqu à son roi. Pendant le court trajet qu il le séparait de la salle du trône, il mettait en place ces arguments et une stratégie pour que le roi l’écoute totalement. Arrivé devant les portes, il entra et se dirigea vers le roi mettant un genou à terre

« Je suis Spell Holld, médecin en chef de vos armées. Je désirerais m’entretenir avec vous et avoir votre avis royal sur une idée que j’ai eu suite à une rumeur que vos soldats ont entendu et qui s’étend peu à peu dans toute la capitale plus rapidement qu’une épidémie fulgurante. »

En se levant pas la tête il comprit que l’effet désiré se produisait. Le roi était surpris par cette entrée et il fallait en profiter. Avant même que le roi prenne la parole il continuait en levant la tête.

« Celle d’une guerre….. Il se trouve par un grand hasard, que j ai eu connaissance du désir de Kähak, régent d’Alliagan,d' acquerir une plante très difficile à trouver et à cultiver et qui se trouve actuellement en ma possession puisque je la cultive. Cherchant à vérifier cette information, j ai envoyé un messager pour m’assurer de la véracité de cette rumeur. La réponse m’est arrivé il y a peu comme quoi le régent souhaite me rencontrer pour négocier l’acquisition de ces plantes. J ai donc penser qu on pourrait se servir de ça pour négocier une pacte avec le royaume d’ Alliagan. Et je me propose, tout en connaissant les risques que je prends dans la demande et dans l’acte, de saisir cette occasion pour rendre service à mon pays et à la paix en tentant de négocier un pacte qui aura un poids certains et qui pourrait faire renoncer à Hindell tout envie de guerre. Oh certes, ce n’est que par pur déduction que j’en viens à conclure que c’est l’autre royaume limitrophe qui souhaite nous attaquer. Pour finir, je m’excuse pour cette entrée et du manque de respect que celle-ci a pu occasionner mais mon envie d’aider mon pays à éviter une guerre était plus forte que tout. »

Maintenant le roi et Spell se regardaient dans les yeux. Les traits du visage du roi laissaient paraître difficilement une surprise devant cette entrée, et Spell fut impressionné par son stoïcisme et s'accorda à penser qu'un oeil inexpérimenté n'aurait pas pu relever cette information et attendait la réponse du roi sans se relever. Tellement concentré dans l'ordre décidé dans le développement de sa demande que Spell Holld remarqua avait décidé d'ignorer la présence d'un autre individu. Un rapide coup d'oeil, le laissa pensif, il s agissait du commandant des armées et n'aurait peut être pas du l'evincer de la discussion. Enfin c'était fait et il fallait qu'il aille au bout sans se soucier des contre-temps sur son passage.

Le duc Az ragni venait d'arriver il dit à l'un des gardes :

-je souhaite parler au Roi Immédiatement!

Le Garde ne refléchit pas, s'inclina devant le duc avant d'entrer dans la salle du trône et dit :

-Mon seigneur Le duc Az ragni le Colosse vient d'Arriver dois-je le faire entrer ?

Az ragni entra dans la salle et slua bievement le roi et dit

-moi Le Duc Az ragni je vient vous jurer Allégence a votrer puissante magester, mais aussi vous praler d'une eventuelle guerre contre Hindell

Az ragni regarda le roi de ses 2m14! se n'eter pas pour rien que l'on apeller le duc le colosse mais il ne fit pas savoire ses penser tordu

Spell écouta le roi attentivement et comprit que le roi commençait à être touché par l’âge. En effet, le roi avait du faire une micro sieste pendant son monologue ou alors les oreilles du roi ne devaient plus entendre tous les mots. A cette pensée, Spell faillit éclater de rire. Mais bon il fallait être plus simple et plus compréhensible, sinon son voyage risquait d’être très raccourci. De plus, si c’était le cas, pour son age avancé, le médecin devait intervenir avant ses talents de diplomates.
Il allait prendre la parole quand un inconnu entra dans la salle pour prêter allégeance. Spell le laissa finir et soupira à entendre parler d'aller faire la guerre. Encore un qui ne voyait pas plus loin que le bout de son nez, comment pouvait il penser à la guerre alors qu'une grande partie de l'armée servait à surveiller et protéger la muraille et que sans ces hommes,celle-ci serait trop vulnérable. Laÿna possédait une défense impressionnate et c'était sur cet atout qu'il fallait compter. Concluant que ces propos n'avait rien d'intéressant, il se releva et s’adressa au roi.

« Messire, sans vouloir vous offenser ce qui pour le moment n’est pas assuré, votre état de santé m’inquiète. Sauf votre respect vous avez l’air d’avoir oublié que Kähak est régent d Aliagan et non d’Hindell qui n’a d’ailleurs pas de régent mais un vrai roi, enfin si je peux me permettre il n’en a que le nom, vous devez le connaître mieux que moi. Maintenant il est fort possible que votre langue est simplement fourchée. Si je peux simplement me permettre, je n’ai guère pour habitude qu on me reproche mon manque de civilité mais je ne voyais pas comment j’aurais pu me faire annoncer car à mon arrivée la porte était ouverte sans un garde. Vous devriez renforcer cette garde pour que ce genre d’évènement ne se reproduise plus, de même dans mon discours aucun mot ne remet en doute ma civilité et mon respect en votre seigneurie.
Enfin pour répondre à votre question et afin d’éclaircir mes propos. La plante que le régent d’Aliagan, Kähak, recherche à pour première qualité de soigner beaucoup de sorte de poisons. Je l’ai déjà utilisé sur plusieurs patients avec une totale réussite. Cependant, j ai lu dans un livre que cette plante pouvait aussi être utilisé dans la préparation d’un des plus puissants poisons qui existent mais mes connaissances en ce domaine sont trop limités pour vous renseigner quand à sa fabrication.
Je vous proposais donc de négocier le soutien d’ Aliagan par un pacte en échange de cette précieuse plante. Avec ce soutien, Hindell serait beaucoup moins sur d'eux et nous pourrions ainsi éviter une guerre, ce qu'a toujours cherché les différents souverrains de ce royaume. »

Il pensait que cette fois-çi il avait été particulièrement clair et succinct et ne voyait comment être plus précis. Il n’était pas habitué à des esprits lents à la comprenette, il observait donc les traits du roi. Sa conclusion était plutôt mitigée, seule la réponse du roi pourrait le rassurer.

Az ragni salua son roi et prit à nouveau la parole.

-Mon Roi je vous comprends mais il faut mettre hors d'état de nuir Draggan le feu Dragon ! Il est d'une puissance que vous ne pouvez imaginer mon seigneur!

Az ragni se tut et regarda son seigneur.

Spell Holld écouta les différents intervenants. Au début il commencait à choper les boules
contre Az Ragni. On lui avait rapporté deux ou trois propos à son sujet le montrant simple d’esprit et ne voyant pas plus loin que le bout de son nez, il avait cru à des railleries et des rumeurs sans fondements mais les propos qu’il entendait allait dans ce sens là. Encore un noble, qui n’a de noble que le nom. Cependant, le commandant des armées, Valinor, le surprit par sa réaction pleine de bon sens. D’un autre côté, il était le seule à connaître le vrai potentiel de son armée et de la puissance de sa défense. Spell jugea bon de ne pas intervenir et de continuer sa discussion avec le roi quand celui-ci aura fini sa discussion avec Az Ragni

« Messire, je n’ai qu’une chose à demander….Auriez vous la bonté de bien vouloir, pour cette mission, de ne surtout pas la rendre officielle. Hindell pourrait en avoir vent et vouloir négocier avec eux avant nous. Je dissimulerais ma visite à Aliagan comme une simple visite de marchand. J’en profiterais pour acheter des produits médicaux dont nous sommes presque en rupture de stock et répondrait à la convocation du régent en étant le plus discret possible. De tout façon, je vous rappelle que le régent veut simplement acquérir cette plante et je ne pense pas qu’il se doute de mon envie de négocier un pacte avec lui grâce à ces plantes. D’un autre côté, très peu de personnes ont les qualités, la patience ainsi que les connaissances pour la faire cultiver donc nous avons touts nos chances.
Au final, je vous demande juste de bien vouloir me prêter de l’argent et m’accorder votre confiance pour je l’espère combler vos espoirs…. »

Il sourit, puis repris

"Quand à la mise en place de gardes aux portes de la salle du trône, je me suis toujours demandé pourquoi il n'y en avait pas eu avant. Je passerais par eux pour me faire annoncer lors de ma prochiane visite"

La dernière phrase avait été dite sur un ton moqueur et Spell ne put s'empécher de sourire à la fin de ces propos.

Spell Holld était tout à fait contre l’idée de la venue officielle du commandant des armées avec lui. Sa venue ne devait en rien paraître officielle. Par conséquent, il ne souhaitait pas être accompagné. La rumeur circulait que le régent était d’une part dur en à faire mais aussi de nature méfiante, il aurait donc du mal à justifier la présence d’une figure emblématique de l’armée de Laÿna à ses cotés, l accord avait bien trop d’importance pour prendre le risque de le voir annuler. Le roi les laissant s arranger, Spell décida de convaincre le commandant des armées qu’il n’était vraiment pas utile voir nuisible qu’il l’accompagne.
Il regarda à l’intérieur de la bourse, le nombre de pièce d’or suffisait amplement à satisfaire ses besoins.

Mon Seigneur, je vous remercie de la confiance que vous m’accordez et vais tacher de ne pas vous décevoir, ni le pays. Si vous permettez, je partirais demain avec la caravelle de commerce. Je pense en avoir pour deux ou trois enfin si le régent peut me recevoir rapidement.

Spell se tourna vers Valinor, pour lui expliquer l’inutilité de ce voyage pour le commandant de l’armée du pays

Quand à vous Seigneur Valinor, je souhaite passer inaperçu et ne pas officialiser ce voyage. Comprenez alors que je ne souhaite en aucune façon y aller avec une figure emblématique du pays de Laÿna. De plus si ça tourne mal, je préfère et ce pour le pays, que je sois le seul à en souffrir voir en mourir. Je reste persuader que le risque est limité et que la plante que j’ai soit un bon poids dans la négociation. Je réitère donc ma demande d’y aller seul, et si vous permettez le modeste roturier que je suis, il y a tant à faire au niveau de l’armée et la défense du territoire que je ne doute pas que vous trouverez des occupations bien plus utiles que ce voyage à Aliagan

La reflexion de Valinor lui trottait tout de même dans l'esprit, il est vrai que le pays d’Aliagan est connu pour sa « xénophobie » et même si il venait pour faire des affaires . Sa tête n’était pas une habituée des milieux marchands et il n’avait pas non plus la réputation d’être un marchand. La convocation du Régent mais si il tombait sur des gens peu scrupuleux qui voudrait ce que le régent recherche. Il prit le médaillon du roi, le mis autour e cou puis s’adressa une dernière fois au roi avant que celui-çi sans aille.

« Monseigneur et commandant Valinor, je ne voudrais pas abuser ni de votre temps, ni de votre patience. Cependant j ai une dernière requête à vous soumettre. La crainte du commandant Valinor me travaille et même si comme vous l’avez compris une figure importante et connue ne peut m’accompagner risquant de nuire à la mission, j’aimerais assez que vous m’allouiez un des soldats plus exactement un garde. Bien entendu vous devinez bien que j’ai déjà une idée de la personne qu’il me faudrait. J’ai déjà eu à la permanence médicale, la visite d’une garde nommé Galyen. J ai eu beaucoup de mal à le croire garde si bien que je me suis renseigné sur lui pour vérifier son appartenance à l’armée. Bref je ne sais pas ce qu’il en est de son niveau d’arme ou bien de ces états mais je pense qu’il pourrait passer pour un porteur intéressant et dissuasif au cas où. De plus j’aurais besoin d’aide pour l’achat du matériel médical. Que pensez vous de cette idée commandant, ne serait-ce pas un compromis satisfaisant entre votre proposition et mes craintes dans cette mission. »

Spell était fier de son argumentation, elle permettrait de rassurer tout le monde et lui d’avoir une aide pour les emplettes médicales. De plus, même si ce n’était pas un guerrier il pourrait faire une parfaite diversion en cas de coup dur.

Pas très rassuré, mais tentant de jouer à l'homme brave, Galyen entra dans la salle du trône à la suite du garde qui était venu le chercher.
Se mettant au garde-à-vous, chose rare chez lui puisque c'était une position qu'il trouvait fatigante, il jeta un ocup d'oeil rapide au roi. Il ne l'avait pas encore vu et ne savait rien de lui. A première vue, il avait l'air... sympathique?
°Ma bosse au crâne me gratte. Ils vont me laisser dans cette position longtemps? Qu'est-ce que j'ai fait de mal? de bien? Est-ce que ça va être douloureux? Fatigant? ESt-ce que mes cheveux me donnent un air efféminé?°
Tant de questions, mais aucune réponse. Son esprit fonctionait beaucoup plus vite que son grand corps. Et il suffisait qu'il se sente un peu stressé pour qu'il se pose mille questions sans aucun sens.
Majesté, je suis à vos ordres, ordonnez, j'obéirai.

Galyen ne se fit pas prier deux fois pour se mettre au repos. Les épaules un peu plus basses, le cou plus décontracté, il écouta attentivement le roi.
Bien que ce dernier ne lui ait dit que peu de choses, il analysa une par une chacune des paroles de son souverain.
°En gros, je dois protéger un homme du nom de Spell Holld. Hum, étrange, où peut-il donc se rendre pour avoir spécialement besoin de moi ? Un endroit assez dangereux pour avoir besoin d'un garde mais pas assez pour ne pas en avoir besoin de plus...°
Oui, les analyses de Galyen n'étaient pas très poussées, après tout, ce n'était pas pour rien qu'il n'était que garde.
Eprouvant un mélange étrange de sentiment d'exitation et de peur de se tuer à la tâche, Galyen tourna la tête vers Spell Holld. Il lui semblait l'avoir déjà vu quelque part, où, il ne savait plus exactement, peut-être durant une visite médicale... oui, c'était ça.
Je suis à vos ordres, il chercha le titre de l'homme sans pouvoir s'en souvenir, Monseigneur.

Az ragni dit A Galyen

- je te souhaite bonne chance mon frére que les encétres de notre famille veille sur toi

Az ragni tendis un petit objét a son frére celui-ci quand il regarda se que sais il vit que c'était un petit poignar au manche en or ! Az ragni rajouta

-Réste envie petit frére