Dans une grande clairière semblable à mille autres, un simple banc est installé, seul, perdu, comme un radeau de bois sur une mer verdoyante, d'herbe et de fleurs des champs.
Sur ce banc sont disposés un bouquet de fleurs qui ne se fanent jamais, une coupe de fruits et un verre de vin.
Et sur une colline au loin, par delà la forêt, s'aperçoivent les hautes tours du palais d'Arvensis.