Une grande plaine aux allures de steppe s'étale devant les remparts, mais se mue rapidement en une jungle étrange d'arbres hétéroclites, de tailles très variables, mais globalement torturés et en partie désséchés comme si le vent et la chaleur s'unissaient inlassablement pour les torturer.
Un sentier empiérré autant qu'ensablé se dessine lentement des grandes portes du rempart jusqu'à se perdre dans la jungle menant aux terres de Phaëris.