Nom : Siyel
Nom de famille : Tomahna
Age : 28 ans
Sexe : masculin
Généalogie : inconnue
Royaume : Phaëris
Branche : Magie
Profession : Bibliothécaire
Titre : Messire
Royaume où vous ne voulez pas être : Hindell
Description physique :
Siyel est un homme plutôt grand, élégant quand il s’en donne la peine (autant dire un jour sur quatre en moyenne). Ses cheveux sont bruns, bien qu’ils n’arrivent pas à exclure la possibilité d’être blonds. Ses yeux brun fauve ont perdu de leur acuité avec les années, et il ne voit pas plus loin que le bout de ses orteils. Pour y remédier, il porte souvent
de fines lunettes, trouvaille sans prix, payée pourtant à prix d’or, voire de platine, la générosité des marchands d’Aliagan étant ce qu’elle est.
Description morale :
Siyel a souvent, pour ne pas dire toujours, un livre entre les mains. Rat de bibliothèque incontrôlable, il pille le savoir de tous les ouvrages qui lui tombent entre les mains, à tel point qu’on pourrait s’attendre à y trouver des traces de dents.
Il confie son savoir à qui veut l'entendre, c'est à dire pas grand-monde. Ce qui d'une certaine manière ne le dérange guère. Il considère que les livres sont plus fiables que les gens, et qu'ils ont bien meilleures mémoires.
Réfléchi, il ne s’énerve jamais, et préfère prendre du recul par rapport à toute situation. Il ambitionne de vivre paisiblement, à l’abri du besoin, et hors de tout danger.
Aimable avec ceux qu’il apprécie, il peut rapidement devenir insupportable, voire ch**** avec ceux qu’il ne peut pas sentir.
Numéro fétiche : 4
Phrase préférée : La plume est plus forte que l'épée
Couleur préférée : jaune
Ambitions : connues de lui seul
Dernière volonté : mourir dans son lit
Signes particuliers : a souvent un livre à la main, des cheveux de deux tons et porte des lunettes…
Histoire :Fils d'une famille modeste et nombreuse, Siyel fut embauché pour contribuer à maintenir en ordre la bibliothèque royale de Phaëris. C'est-à-dire, dépoussierer les épais volumes, les relier et les ranger. Autodidacte, il apprit à lire rapidement ce qui lui permit de ranger avec moins de peine les ouvrages de la bibliothèque.
A la mort de son mentor, il se trouva un des rares disponibles pour reprendre ce fastidieux travail, de tenir en ordre la bibliothèque. Car comme toujours, tout le monde veut un service, efficace, des livres en bon état, sans avoir à se briser le postérieur pour les trouver, mais lorsqu'il s'agit de rendre les ouvrages, de les remettre à leur place et d'en prendre soin, un certain art dans la rédaction de menaces anonymes peut s'avérer nécessaire...