Rives inhabitées des terres d'Aliagan, qui bien qu'excellents marchands, ont refusés sciemment l'opportunité d'un port, ne désirant nul bateau étranger dans leur cité.
La mer est donc laissée aux poissons et aux mouettes, dont seuls les cris stridents et le murmures des vagues mourant sur la plage viennent briser le silence de ces terres désertées.